Recherche par auteur : Cognetti, Paolo
6 résultats.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 4h. 16min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 69197
Résumé:"Qu'allais-tu faire là-bas ? Tes amis te le demandaient souvent : pourquoi encore cette ville ? Pourquoi tout ce temps ? Qu'y a-t-il à New York que tu ne connais pas déjà ? Parfois tu te le demandais aussi. Tu l'avais arpentée en long, en large et en travers, si bien que tu la connaissais mieux que ta ville natale. "Pour écrire" était la réponse qui coupait court à toute question. Mais il y avait quelque chose d'autre de trop difficile à expliquer". En 2003, Paolo Cognetti, âgé de 25 ans, se rend à New York pour réaliser une série de films documentaires sur la littérature américaine. Le jeune écrivain tombe sous le charme de la ville qui ne dort jamais et, pendant dix ans, il n'aura de cesse d'y retourner. Ces Carnets de New York sont le récit de ses multiples allers-retours dans la ville "des chasseurs de fortune, des souffleurs de bulles de savon et des rêves brisés" . Dans cette langue qui n'appartient qu'à lui - divin mélange de simplicité et de poésie -, il nous entraîne sur les pas de ses héros littéraires, Melville, Whitman, Ginsberg, Capote ou encore Paley, Salinger et Kerouac. Il déambule dans Brooklyn, "la ville des écrivains" , erre entre les gratte-ciel de Manhattan, traîne sa solitude le long de l'Hudson ou de l'East River, fait une pause chez Ozzie's pour noircir les pages de son carnet. Comme toujours avec Paolo Cognetti, il n'est de voyage sans rencontres et nouvelles amitiés : à chaque retour à New York, le voilà qui retrouve ses amis italo-américains, Bob, son "oncle de Brooklyn" qui doit ses rudiments d'italien à lecture de Moravia et Jimmy, qui nourrit une passion pour Mussolini et n'a jamais mis les pieds en Italie. Illustré de neuf cartes dessinées par l'auteur, ces carnets sont une ode à New York, "ses ponts, ses îles, ses automnes, ses habitants mi-réels, mi-fantastiques"
Lu par : Bernard Grandjean
Durée : 2h. 55min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 76459
Résumé:Fredo et Luigi ont grandi dans la Valsesia, une vallée montagneuse du nord de l'Italie. Ils se ressemblent tout en étant très différents, comme les arbres que leur père a plantés à leur naissance. Pour Luigi, un mélèze, qui regarde vers le soleil et ondoie dans le vent. Pour Fredo, un sapin fort et résistant, qui s’épanouit à l’ombre. Betta, milanaise et lectrice de Karen Blixen, a traversé de façon fugace la vie de Fredo pour s'enraciner dans celle de Luigi, qui est devenu garde forestier. Alors que le couple attend une petite fille, Fredo est de retour après sept ans au Canada. Depuis la mort du père, les deux frères n’ont en commun que leur addiction à l’alcool et la vieille maison familiale, là-haut sur la montagne. Luigi voudrait racheter la moitié de Fredo, pour y commencer une nouvelle vie avec Betta. Mais sur ces terres rudes et oubliées de tous, un verre ou un mot de trop suffisent parfois à libérer les ténèbres de la vallée, et à transformer les chiens en loups.
Lu par : Mari Caucal
Durée : 4h. 18min.
Genre littéraire : Roman d'amour
Numéro du livre : 73047
Résumé:Fausto, 40 ans, et Silvia, 27 ans, sont respectivement écrivain et artiste-peintre. Ils se rencontrent et débutent une relation amoureuse un hiver, dans la petite station de ski de Fontana Fredda, au coeur du Val d'Aoste. Le printemps venu, Silvia choisit de rejoindre le glacier Felik tandis que Fausto doit redescendre en ville afin de finaliser son divorce.
Lu par : Cathy Spicher
Durée : 3h. 27min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 32301
Résumé:C'est l'histoire d'un garçon de la ville qui ne se sentait bien qu'à la montagne mais n'y avait pas remis les pieds depuis dix ans. A 30 ans, après un mauvais hiver qui le laisse à bout de forces "comme quand une entreprise en laquelle tu as cru échoue misérablement", il décide de tenter une expérience de solitude et s'installe pour un temps indéfini dans les hauteurs de la Vallée d'Aoste. Là, il redécouvre le bonheur de marcher sur le fil des crêtes, suspendu entre l'enfance et l'âge adulte. L'occasion pour lui de se lancer des défis de tous ordres, de réaliser désirs ou fantasmes, et d'essuyer des tempêtes autant intérieures qu'extérieures. Marchant sur les pas de ses maîtres, il apprendra à fendre du bois, à allumer un feu en plein orage, à cultiver un jardin à moitié sauvage, à cuisiner les herbes de montagne... mais aussi à se perdre et à affronter ses peurs.
Lu par : Christiane May-Sudan
Durée : 6h. 36min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 35502
Résumé:"Quel que soit notre destin, il habite les montagnes au-dessus de nos têtes". Pietro est un garçon de la ville, Bruno un enfant des montagnes. Ils ont 11 ans et tout les sépare. Dès leur rencontre à Grana, au coeur du val d'Aoste, Bruno initie Pietro aux secrets de la montagne. Ensemble, ils parcourent alpages, forêts et glaciers, puisant dans cette nature sauvage les prémices de leur amitié. Vingt ans plus tard, c'est dans ces mêmes montagnes et auprès de ce même ami que Pietro tentera de se réconcilier avec son passé - et son avenir. Dans une langue pure et poétique, Paolo Cognetti mêle l'intime à l'universel et signe un grand roman d'apprentissage et de filiation.
Lu par : Janick Quenet
Durée : 3h. 2min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 65870
Résumé:« J’ai fini par y aller vraiment, dans l’Himalaya. Non pour escalader les sommets, comme j’en rêvais enfant, mais pour explorer les vallées. Je voulais voir si, quelque part sur terre, il existait encore une montagne intègre, la voir de mes yeux avant qu’elle ne disparaisse. J’ai quitté les Alpes abandonnées et urbanisées et j’ai atterri dans le coin le plus reculé du Népal, un petit Tibet qui survit à l’ombre du grand, aujourd’hui perdu. J’ai parcouru 300 kilomètres à pied et franchi huit cols à plus de 5 000 mètres, sans atteindre aucun sommet. J’avais, pour me tenir compagnie, un livre culte, un chien rencontré sur la route, des amis : au retour, il me restait les amis. » Paolo Cognetti